Menu

       ACCUEIL    |    Projet et préparatifs    |    Itinéraire    |    Qui sommes nous ?    |    Contact    |   
En 2013 : Du 18 juin 2013
au 19 Décembre 2013
Réalisé en 2012
  Nos étapes au Mexique
  Nos étapes au Belize
  Nos étapes au Guatemala
  Nos étapes au Salvador
  Nos étapes au Nicaragua
  Nos étapes au Costa Rica
  Nos étapes au Panama
  Nos étapes en Colombie
  Nos étapes en Equateur
  Nos étapes au Pérou
  Nos étapes en Equateur
  Nos étapes au Pérou
  Nos étapes en Bolivie
  Nos étapes en Argentine
  Nos étapes au Chili
  Nos étapes en Uruguay




SILVIA (Colombie)
Un jour chez les Guambianos
Retour

Mercredi 20 novembre 2013

Dans la montagne, à plus de deux heures de route de POPAYAN, une petite ville SILVIA, où vivent autour de la cité, Los GUAMBIANOS, les indigènes originaires de la region.
Ils sont environ 30.000 organisés en communautés, parlant le Guambiano et vivant essentiellement de l'agriculture. Leur spécialité, la pomme de terre de formes et couleurs variées.
Côté religion, c'est un amalgame du catholicisme et de leurs religions ancestrales.
Tous les mardi, il envahissent Silvia, car c'est le jour de marché et ils viennent donc vendre leurs produits.
Ca tombe bien, nous sommes mardi, nous allons donc à Silvia.
Nous prenons un minibus déglingué de huit places. Deux heures dans ce tape-cul et sur une route toute en virages.
On arrive enfin. La place est envahie de gens vêtus de bleu, hommes, femmes et enfant.
Un podiu où se produisent des groupes d'enfants indigènes. Le thème, "Contre la violence infantile".
Des gens bleus, des pas bleus, des policiers nationaux armés, pas de touristes, et nous.
L'ambiance est excellente. Les policiers sont détendus et plaisantent avec les gens. Ils vont même faire un numéro de pitreries sur le podium sous les yeux du chef qui prend des photos.
On en prend aussi... Comment se priver de photographier.
On abandonne la fête pour le marché. On y vend de tout mais nous voyons beaucoup de patates. Toutes sortes de patates.
On trouve de tout, sauf des produits touristiques, car des touristes, à part nous, on n'en vois pas.
On entre dans un restaurant local. On nous dévisage. Moi, je commande un repas populaire. Maria, méfiante, après son infection intestinale se contente d'une soupe.
On déambule dans la rue principale. Des boutiques, mais rien d'original.
Il est temps de rentrer et retrouver un vehicule aux amortisseurs avachis et les virages.
Super et agréable journée passée à Silvia parmis tous ces gens.

Cliquez sur les photos pour les agrandir !





Retour